Les études sont – elle nécessaire pour bien vivre ?

Publié le par SHREK

Depuis l’année 1959, l’Education nationale de France a déclaré que la durée de l’éducation obligatoire se prolongeait jusqu’à 10 ans. Les élèves français peuvent bénéficier d’une étude publique, ainsi que gratuite, jusqu’à 16 ans. Autrement dit, tout le monde doit participer à l’école, autant les riches que les pauvres.
       
     On mesure la duplicité de l’Education nationale. D’un côté, elle valide amplement les usages qui génèrent l’enseignement démocratique, car il s’agit de faire protéger l’esprit de la République : l’égalité. De l’autre, elle finance des institutions pour leur satisfaire, précisément au nom du gain économique dont l’efficacité n’arrive pas au niveau attendu. Le problème est devenu crucial depuis que les nombres des bacheliers augmentent sans cesse jusqu’à 80 %. Si le diplôme de DEUG est devenu la condition principale afin de trouver un boulot à n’importe quoi, dont la valeur se déprécie et personne ne s’attachera plus à faire ses études. Etant donné le rapport national, les étudiants qui décrochent dans la première année d’université sont plus nombre qu’avant. Un combat existe encore entre la quantité et la qualité dans l’enseignement supérieur qui a été orienté vers la consommation. Pour nous-mêmes, qu’est-ce que l’objet d’apprentissage ? C’est pour trouver un bon boulot qui est bien rémunéré ? Or, si bien pour réaliser le succès de soi-même ? Qu’en pensent-ils, les étudiants aujourd’hui ?

L’idée pour moi c’est que l’Etat accélère mis à jour la conscience dont la chance est égale au diplôme. Comme les étudiants suivent intensivement ses études, mais aléatoirement sans savoir l’orientation, sous prétexte que l’égalité de la République est une croyance inébranlable. Comment s’attendra-t-on à supprimer les écarts au milieu du populaire ?

Publié dans Education

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